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La construction navale de Nantes à
Saint-nazaire de 1850 à 1914 |
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INTRODUCTION Nantes, par sa situation géographique, a toujours développé une relation avec la mer et la construction maritime. Il suffit de rappeler qu'au XVIIIe siècle une bonne partie de la richesse nantaise provenait du commerce triangulaire et des liaisons privilégiées avec les îles. Au milieu du XIXe siècle, les raffineries et l'importation du sucre par les mers favorisent le développement de la construction navale. C'est ainsi qu'ont pu naître nombre de petits chantiers dans l'ensemble de la Basse Loire jusqu'à l'estuaire : à Nantes, à Basse Indre, à Indret, à Couéron, à Paimboeuf et enfin à Saint Nazaire. A la fin du XIXe siècle, alors que les petites entreprises disparaissaient au profit de regroupement de sociétés, les mutations technologiques notamment les coques en acier et la motorisation ont produit quelques sites industriels : les usines de Chantenay et de la Prairie au Duc à Nantes, le centre d'Indret, la Montagne et Saint-Nazaire. A Nantes, on a pu recenser jusqu'à plus de 100 constructeurs dont les plus durables furent les sociétés suivantes : -Dubigeon -Guibert -Bonnissant -Jollet et Babin -Le François -Oriolle De la Brosse et Fouché Du simple artisan charpentier à l'entreprise importante, les cales nantaises étaient disséminées le long de la Loire, dans l'île Gloriette, sur la Fosse à l'embouchure de la Chézine, plus en aval à Chantenay sur la rive droite et Trentemoult sur la rive gauche. |
1. Les chantiers de Nantes à St-Nazaire
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2. Les techniques de construction
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3. Les différents types de bateaux
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5. Conjoncture historique et économique
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