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Les adieux à Olav Jules se réveille en haut du mât de misaine. Etonné, il descend. Il entend des cris de détresse qui viennent d'en bas. Puis : " Affalez les voiles !" A cause de ces cris, Jules se prend les pieds dans les haubans et frôle la catastrophe ! Il se reproche alors de ne pas avoir écouté ses parents. Il se souvient : "Jules, tu es encore trop jeune pour embarquer!" Finalement, il s'arme de courage et réussit à descendre du mât. Là, il voit des marins désespérés et affamés. Un des membres de l' équipage le voit et parait étonné : " Quel accoutrement ! Quelques minutes plus tard, la vigie crie : "Terre en vue !" Alors le capitaine ordonne de s'approcher de l' île. Une fois arrivés près de l' île, Jules et quelques marins abordent un petit coin de sable et partent à la recherche de nourriture. Malheureusement la " cueillette " ne donne rien. Jules et le capitaine ordonnent alors de retourner sur le Belem. Jules monte en haut du mât pour essayer d' apercevoir une autre île ; mais rien à l'horizon, sauf un étrange bateau, long et large, avec une voile rectangulaire, des boucliers sur toute la longueur et beaucoup de rameurs !" Jules décrit le bateau au capitaine qui le reconnait aussitôt. Il ordonne à ses hommes de retourner se cacher sur l'île. Il explique : - Ce sont des vikings qui naviguent sur un drakkar ; ils sont terribles, espérons qu'ils ne verront pas le Belem. Jules et l'équipage traversent l'île à la recherche d'une bonne cachette. Arrivés au point culminant de l'île, Jules observe avec sa lunette... Un homme d'équipage lui demande : - Monsieur Jules, que font-ils ? - Des hommes attachent des câbles au bateau, raconte Jules. Ils le tirent jusqu'à un endroit où d'autres hommes commencent à faire un grand trou. Jules est étonné de voir à quelle vitesse ils creusent. En dix minutes, le trou est fini. L'équipage y tire le bateau. Des hommes et des femmes apportent des coffres, des lits, de la nourriture et encore beaucoup de choses. Mais que font-ils ?
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